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  • C’est à partir de la lectio que se fait la meditatio.

  • Il est bon d’éviter un raisonnement sur les textes et de ne pas chercher trop rapidement des applications à partir des textes médités.

  • Cette meditatio doit être prudente.

  • Elle ne doit pas nous fixer sur nous-mêmes, elle ne peut que nous fixer sur Dieu ; elle ne peut être œuvre humaine, étude, analyse ; elle doit rester accueil et ouverture.

  • Elle est un désir d’intelligence et de vision.

  • Elle mène vers une adhésion priante et favorise une contemplation toujours plus unifiée et plus complète du Mystère de Dieu, selon Ses Vues.

  • C’est une étape délicate...

  • En effet, la « meditatio » pourrait se faire facilement introspective, cherchant des applications concrètes immédiates, personnelles et même apostoliques, ce qui diminue fort le champ de vision et empêche de voir la grandeur et l’ampleur du Mystère contemplé, de la lecture faite, de la Parole entendue, écoutée.

  • Toute Parole de l’Écriture ne peut avoir en tout temps un point d’application concrète.

  • La méditation peut se nourrir avec profit de la « symphonie de l’Écriture », un texte biblique pouvant être éclairé par d’autres ; elle se nourrit aussi du trésor de la Tradition chrétienne qui a déjà reçu avec fruit cette Parole de Dieu.

  • On peut également s’appuyer sur les informations que l’on trouve en notes dans une Bible bien commentée, lorsque celles-ci éclaircissent le sens du texte.

  • C’est après la lectio divina que l’on doit lire ces informations, et non pendant le temps de prière de la Parole.

  • L’étude exégétique du texte sacré aidera d’autant mieux la lectio divina qu’elle souligne son importance dans l’Histoire du Salut, informe au sujet de son destinataire, donne la structure du texte et explique sa portée.

  • Une telle étude peut être priante ; elle le sera d’autant plus que la lectio divina bien faite a précédé l’étude.

  • Cette dernière est d’autant plus riche qu’un texte a été souvent objet de lectio divina.

  • Remarquons enfin qu’une « meditatio » peut être d’autant plus fructueuse que le fruit de sa réflexion a été noté.

  • Tel texte sera noté parce que mieux compris, tel autre sera retenu et noté qui a offert une occasion de prière.

  • Quand la prière devient simple, elle se fait « litanique », en ce cas elle peut très bien être mise par écrit ; elle sera répétée après.

Colombe D
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Sens allégorique – spirituel (Hb. "Remez" = "allusion")

Le sens allégorique "dire autre", en énonçant une chose, en dit aussi une autre. Les "allusions" sont multiples…

C’est l’explication des événements de l’Ancien Testament par les événements de la vie du Christ, décrits dans le Nouveau Testament.

Le sens allégorique fait la relation entre le passé et le présent.

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  • Un 2ème participant lit, lentement, à haute voix, le texte choisi…

  • Pendant 7 mn, en silence absolu, chacun reprend le texte et essaie de percevoir l’enseignement de FOI qui s’y exprime. Qu’est-ce que ce texte nous apprend sur Dieu ? La Méditation se fait crayon en main, pour noter les divers éléments, dans l’ordre du texte…

  • Puis, à tour de rôle, chacun résume au Groupe ce qui lui semble l’enseignement de Foi ; et comment cela l’interroge…

  • On tente de s’exprimer à la 1ère personne (je).

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